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Le blog de G.

Le blog de G.
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25 juillet 2011

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Ecrire, toujours la même rengaine ; un an après je relis un texte sur un épisode qui m’avait marqué et que j’avais su retranscrire en de simples et touchants termes. J’en suis aujourd’hui touché et je me remets à la tâche devant le bonheur de se relire et de se dire que de tels efforts sont importants et en quelques sortes valorisant. J’avais passé une belle journée et plus particulièrement deux heures qui m’avaient replongé dans mon enfance, je commençais à prendre le recul sur celle-ci. Aujourd’hui, je peux le dire, celle-ci est révolue, je suis entré dans une autre période de ma vie où les doutes et le questionnement ont moins leur place. Je suis entraîné dans une folle dynamique, je participe à des projets, cheville ouvrière de leur réalisation et de leur succès, le recul peut paraître plus difficile mais l’expérience et la maturité permettent de relativiser sur la portée de ses actes, de son existence. Non, je ne serai pas un golden boy malgré mes lectures assidus de magazines économiques et business. Mais je sais toujours rêver et espérer à vouloir vivre des moments forts ; je pense que je ne saurai jamais me fixer dans un schéma établi, cherchant toujours à vouloir connaître et surtout vivre des expériences diverses et variées. Je ne me fixerai aucune barrière dans ma progression allant vers des challenges qui me tentent, qui me donnent envie. Tant que je peux survivre dans ce contexte, je m’en contenterai. Certains parlent de maturité quand le relativisme entre en jeu ; dans le monde humanitaire, on parle d’un sentiment blasé aux événements de la vie. Tous ces événements n’ont plus qu’une portée relative en ayant vécu des situations totalement différentes qui sortent de l’imagination d’un individu normal. Je ne dirai pas que les événements en Norvège ne m’impressionnent pas mais j’ai cette distance et ce recul qui m’attardent  sur le comportement humain. De tous temps, de nombreux actes horribles ont été commis, on y trouve des explications historiques, culturelles ou encore ethniques mais au fond l’explication à trouver est au niveau de l’individu. Pourquoi ? Comment cela est-il possible ? Essayer de comprendre est de se mettre au niveau de l’individu qui a commis ces actes et se poser la question de son passage à l’acte. Des circonstances atténuantes sont toujours là pour tenter d’expliquer mais au fond il reste la décision de l’individu de passer à l’acte, de presser la détente. La banalité du mal est un terme qui est pour moi une explication trop simple et facile, qui vient excuser des actes inqualifiables. Elle permet d’évacuer la réflexion à engager sur la folie humaine. Il s’agit de folie, ne pas chercher d’autres explications. Comment cela est possible ? Tous les jours, des attentats, tous les jours, des meurtres mais il s’agit de vies humaines, de multiples histoires personnelles. La photo de une de lefigaro.fr était celle d’un jeune garçon norvégien, de 5 années sûrement : cette photo m’a marqué. Toute l’innocence de cette tête blonde se retrouve confrontée à la sauvagerie. Celui-ci ne doit pas comprendre beaucoup de la situation, il ne peut pas comprendre. Comment cela est-ce possible ? Pourquoi quelqu’un s’arroge le droit de décider de la vie pour d’obscures raisons. Cette innocence de pensée, cet état brut de pensée ne doit pas être oublié, il doit rester la base de notre réflexion pour ne pas s’égarer dans notre relativisme. Non, la vie est personnelle, elle ne doit pas dépendre d’éléments extérieurs.

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26 juillet 2010

Aujourd’hui, dimanche, j’ai entendu et écouté la

Aujourd’hui, dimanche, j’ai entendu et écouté la parole du Seigneur. Cette démarche personnelle m’a étonné : l’appel des cloches m’a entrainé jusqu’à la cathédrale où j’ai assisté à l’office. Je pense que c’est la première fois que je prends l’initiative de me rendre à un office.

Cela faisait quelques mois que le son des cloches me parvenait aux oreilles et depuis ce temps je me suis déjà posé la question d’assister à un office mais aujourd’hui, le jour non travaillé, le soleil et la douceur ont été déclencheurs. La douce mélodie des cloches qui m’a rappelé tant de souvenirs lointains m’a poussé au-delà des portes de la cathédrale que j’avais jamais tenté de franchir. Je pense que ma démarche se retrouve dans une certaine nostalgie dominicale avec la messe comme impératif matinal et source de conflits chroniques avec l’autorité parentale. Autant dire que je n’en garde pas un bon souvenir de cette habitude. Sur le chemin de la cathédrale, de nombreuses pensées se bousculent : à quoi bon ?! Ne serais-tu pas mieux à siroter une bière en terrasse, à bouquiner qu’à aller passer une heure dans une cathédrale ? Mais aujourd’hui, j’y étais, je suis rentré, j’y suis resté. La moyenne d’âge élevée de l’assistance a été un choc en rentrant : l’Eglise n’attire plus grand monde et son renouvellement semble compromis… Cela me change des messes à la paroisse de mes parents dans lesquelles je pouvais retrouver tous mes camarades d’école. Je me sens seul. Je m’assieds dans un endroit isolé pour mieux méditer car j’ai envie de souffler et me changer les idées. Une paroissienne s’avance vers mi et me propose de lire une lecture : je ne peux pas refuser, cela ne se fait pas, c’est si gentiment demandé et cela éblouira mon dimanche. Je vais donc lire le texte pour mieux le réciter ensuite. Je retourne m’asseoir dans les premiers rangs, maintenant je fais partie de la paroisse, moi ! Plus besoin de me cacher, tout le monde pourra me mater pendant ma lecture.

La messe commence, je ne me rappelle pas tous les rituels notamment la prière de pénitence : il me semble l’office plus traditionnel ; je finis chaque phrase du bout des lèvres. Drôle de sensation d’un enfant surpris à ne pas avoir appris sa récitation, plus grave encore sa prière. Les chants s’élèvent dans la cathédrale, superbement portés par un quartet de religieux il me semble. L’acoustique du lieu donne aux chants et à l’orgue une dimension supplémentaire. Je me sens transporté hors du temps, pas si loin de mes souvenirs d’enfant. Vient mon tour de lecture, tout se passe bien, l’assistance est concentrée, je suis concentré et attaché à bien lire comme on m’a appris quand je servais la messe : je jette plusieurs regards à l’assistance pour faire vivre le texte. Mission accomplie, la messe se poursuit avec l’évangile et le sermon du prêtre. Temps de prière qui me semble toujours aussi décalé et avec lequel j’ai toujours autant de mal. Le sermon représente la clé de voûte d’un office : c’est le seul élément différenciant des offices avec les lectures et il me semble tellement important qu’il dérive toujours autant.  Je ne pense pas avoir suivi l’intégralité d’une homélie, tellement celles-ci se perdent souvent en banalités ou deviennent trop longues. Je continue donc à suivre la messe, toujours entrainé par les chants. La communion et le chant à Marie pour conclure l’office. Encore un chant magnifiquement chanté.

Je sors de la cathédrale satisfait, d’avoir passé un bon moment. J’étais venu me recueillir, j’y ai plus passé un agréable moment qui m’a replongé dans mes souvenirs d’enfance. Instants nostalgiques dans lesquels on se sent transporté par les chants. Mais cette heure passée dans la cathédrale n’a pas été un moment de prière. Mon intention était de prier mais le son des cloches a réveillé une de mes pages intérieures. J’y ai passé un agréable moment. Je reste circonspect sur ma foi. La religion représente pour moi une base à intégrer dans son éducation par des principes remarquables qu’elle propose mais de là à la pratiquer tous les jours… Je ne me reconnais pas dans cette Eglise, dans cette foi de charbonnier que certains connaissent. J’admire ces personnes, la foi chevillée au corps, qui ne doutent pas ; moi je doute, j’ai toujours douté, je n’ai jamais été convaincu. Je n’arrive pas à comprendre l’engagement de ces personnes qui y croient et qui s’y consacrent. Pour moi la vocation reste un grand mystère : je la conçois pour tous les métiers mais pour le ministère de la parole, il me semble qu’on entre dans un domaine tellement flou.

Ce que je ressens aujourd’hui, c’est la sensation d’une activité banale que peut être la religion. Elle peut s’approcher d’un spectacle si les offices sont bien organisés : j’ai des difficultés à y trouver une spiritualité dans des séquences qui perdent de leur valeur à force d’être répétées chaque dimanche. La messe un spectacle, je le pense, elle abrutit ceux qui y assistent régulièrement. Plus aucun recul n’est pris par ces personnes. La parole a une valeur, chaque mot a une valeur : il faut convenir de les appliquer avec parcimonie et de savoir les manier. Je me tente à aller plus loin en affirmant que la messe n’est finalement que la réunion d’individus isolés qui ont la même éducation, les mêmes valeurs et habitudes. Chacun a certainement sa propre spiritualité mais elle n’est certainement pas mise en avant le dimanche.

Voilà je reste encore dubitatif sur la messe, quinze ans après… Je ne remets pas en cause une religion en générale mais plus sa manière de vivre et quelques principes.

17 avril 2008

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Cette fois-ci les conditions sont réunies ; elles ne l’ont jamais été dans de telles conditions. Je suis en Allemagne et je m’embête royalement. J’y suis pour les études, je n’y suis pas pour le plaisir. Cela fait maintenant deux ans que je ne connaissais plus le lourd rythme étudiant. Un autre rythme qui n’a plus d’intérêt une fois une expérience professionnelle très longue effectuée. Donc, mes journées sont entrecoupées de petits intervalles de cours ou je me force à aller en cours pour déchiffrer la signification des cours de l’orateur qui parle une langue que je ne maîtrise malheureusement très mal. Je comptais dès le départ ne pas assister aux cours et partir en vacances dans un lieu plus sympa et surtout que j’affectionne par dessus tout. Mais la raison l’emporte mais chaque jour est une lutte à combattre cette envie tenace de partir, de tout quitter. Comment faire ? Ne pas se poser de questions est une solution que je m’applique mais il arrive évidemment un moment ou une question revient sans cesse : mais que fais-je ? Ou plutôt qui suis-je ? Cette question ne sort pas tout droit comme ça de mon imagination débridée et décousue, c’est une question qui m’avait été posée il y a maintenant dix ans et à laquelle je n’ai n’ai jamais voulu répondre car je ne voulais chercher parce que je pense que je n’ai pas la réponse. L’aurai-je ? Je ne pense pas et je ne l’espère pas car ce jour-là ou je me serai découvert je n’aurai plus rien à faire, plus rien à découvrir. Je ne suis rien, je suis à la recherche éternelle de sensations, de rencontres qui vont me construire petit à petit pour me faire ressembler à quelque chose. Je m’approcherai d’une idée mais je ne pourrai jamais l’atteindre car l’état parfait est physique, il ne sera jamais humain. Cela fait dix jours que je suis en Allemagne, dans le campus d’une importante université allemande. J’assiste aux cours, je dors, je mange, je sors, je fous rien mais j’avais besoin de cette période de ‘vacances’ après deux ans à travailler. Besoin de souffler, mes nuits sont plus longues, je suis plus reposé. L’absence de stress y est pour quelque chose. Je me remets tout doucement à faire du sport. Je commence à revivre. Cela faisait quatre mois que je n’en pouvais plus avec un rythme infernal et une vie sentimentale pourrie allant de désillusions en désillusions et surtout de doutes en doutes. Ce temps là que je ne connais en vacances ou je peux prendre enfin le temps de lire, m’informer (certes un peu plus difficile en Allemagne). Et d’écrire… Je vous ai déjà fait part de mes états d’âmes mais on peut dire que je me sens destiné à écrire par mon goût pour la lecture mais aussi par l’écriture. J’aime écrire, pas n’importe quoi, c’est pourquoi je m’impose de ne pas entamer d’œuvre car je ne sais pas ce que cela donnera. C’est une douleur de ne pas vouloir écrire alors que je le désire… Raconter des histoires, je pourrais tenter mais ce ne sont pas mes histoires, ce sont celles de gens que je connais. Il me faut me créer mon univers pour que je m’y sente et que je puisse délivrer mon histoire à ma manière. Aujourd’hui, j’ai appris que le père d’une amie est décédé ; cela fait toujours un choc. On n’acceptera jamais la disparition d’un proche, de toute la souffrance causée. C’est la pire des saloperies qui peut arriver à tout un chacun de quitter les siens. Je me rappelle la même situation l’an dernier avec une autre amie, le choc avait été rude d’autant que je connaissais très bien le disparu. Je ne savais quoi faire, juste me rendre à l’enterrement mais ma couardise n’en a pas voulu. Je m’en veux. Je me rappelle encore le sms reçu avec l’idée de recevoir des nouvelles agréables et là, non, la situation la plus inattendue se produit et vient ruiner la journée. Une histoire, maintenant, me concernant ; c’était ce matin au réveil. Autant vous dire que ce réveil a été plus que surprenant. Je me suis réveillé ce matin avec comme première vision ma paire de pantoufles posées à trente centimètres de mon champ visuel sur ma table de chevet. Pendant une minute, je commence à me demander si je suis pas devenu somnambule à vouloir grimper en pleine nuit sur ma table pour pouvoir approcher les étoiles. Je n’ai jamais été somnambule, pas à ma connaissance du moins ! Mais quel esprit tordu a-t-il pu bien poser cet accessoire ? Je décide de ne pas me poser de questions et commence à chercher mes clés pour sortir. Introuvables. Un deuxième mystère en un quart d’heure en fait une étrange coïncidence. Celles-ci sont tout simplement sur la serrure à l’extérieur… Un très bon blagueur et surtout très discret m’a surpris en ce matin du 16 avril ; je ne saurai jamais qui cela peut-il bien être, je préfère rester dans le domaine de l’imagination à me demander qu’est-ce qui a pu bien le pousser à oser un tel geste. Il faut avoir une certaine dose de culot à accomplir un tel acte : quelle aurait été ma réaction si je l’avais surpris ? Certains s’offusqueraient de cette intrusion mais ce réveil a illuminé ma journée en me montrant que des attentions si intelligentes et si fines sont réalisables. Je l’imagine se retenant de rire pour ne pas me réveiller, à faire attention à ses pas, à retenir sa respiration tout ça pour en retirer quelque satisfaction. C’est le dévouement, l’altruisme à l’état pur. Je m’explique. C’est un geste gratuit dont l’auteur ne retirera aucun prestige : il l’a fait parce que cela lui faisait plaisir et voulait me créer la surprise. Il a pensé à moi, je le remercie. Je penserai à lui. Raconter ma vie ne serait-ce pas un moyen de commencer à écrire ? Raconter ce que je vis est la première des plus belles histoires que je connaisse car c’est une vie mouvementée avec tous les tourments qu’un jeune homme peut connaître. Ce sont 25 ans que j’ai vu passer avec un certain recul, avec de nombreuses joies, des déceptions, des doutes et des surprises. Et surtout, je la connais, je peux la commenter ; j’apprendrai peut-être à mieux me connaître.
14 janvier 2008

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Une nouvelle année vient de commencer, celle-ci est pleine de promesses : nous espérons tous qu’elle sera faite (avant tout !) des succès personnels mais aussi des personnes qui nous entourent car si on peut éviter la compassion une année de plus, cela m’arrangerait. De moments agréables sera composée cette année supplémentaire mais bien sûr elle sera jalonnée de moments forcément moins agréables, des coups de blues, des remises en questions ou encore des décisions difficiles à prendre. Au final, le terme ‘nouvelle année’ devient paradoxal car les années sont un éternel recommencement avec des moments semblables ; de là à dire qu’elles se ressemblent, le pas est vite franchi ! On peut dresser des parallèles entre elles car les dynamiques se ressemblent mais les faits ne seront plus jamais les mêmes : je porterai toujours des baskets mais de noires elles passeront au fluo, parce que c’est tendance. Ainsi, les années sont un éternel recommencement de modes, de comportements ; nous ne changerons jamais ; jamais nous ne saurons adopter une nouvelle conduite à moins de s’enfermer dans un monastère sur une île déserte mais le trip diffère et peut conduire à la réflexion. Finissons-en avec les considérations sans importance comportons-nous de manière cohérente en souhaitant que cette nouvelle année puisse permettre à tout le monde, à n’imorte quel niveau de décision, de responsabilité ou de tendresse de se rapprocher d’un état de bien-être général. Arrêtons les conneries, vivons bien, soyons cohérent, ne nous prenons plus la tête. Chacun sait que le bonheur de chacun repose dans celui des autres, donc sachons s’intéresser aux autres.
14 janvier 2008

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Ecrire, toujours et encore ; la dernière fois que j’ai écrit sur cette page remonte à plus d’un an ; autant dire que mes soucis d’inspiration se sont bien illustrés mais je tiens à souligner que ma volonté d’écrire m’a toujours manqué. Le manque de temps ou plutôt l’absence de prise de temps pour écrire ici car je trouve néanmoins toujours l’occasion dans mes correspondances ou pour le travail. Le contexte peut être différent mais cela est un choix de travailler. Le travail opprime… ma fibre gauchiste ne surgirait-elle pas ? Je pense tout de même que le travail aliène car il bride la liberté d’action car dans le travail nous sommes contraints de respecter la logique de performance de l’entreprise qui ne nous est pas propre. Nous réalisons les buts d’une entreprise et par cela ceux d’actionnaires… Mais ces mêmes personnes ne nous accordent-elles pas une certaine liberté ? Ce n’est pas la liberté que je conçois : je pense que nous n’avons plus de grandes libertés car toute notre vioe est régulée par des contraintes légales, sociétales. L’homme libre est celui qui vit à la marge nde ce système : le marginal, un homme libre ?
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14 janvier 2008

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Ecrire ou comment trouver cette foutue inspiration qui ne vient jamais. Serait-ce une forme supplémentaire de paresse à ne lire que ce qui a déjà été écrit mais il est un temps où on se dit que l’écriture est un plaisir. Plaisir, oui par cette création inhérente à l’écriture : trouver les mots justes, le style et une idée. Mais l’idée, elle se trouve tous les jours je pense par le simple fait de vivre : à chaque jour son lot de rencontres, d’humeurs, de situations et ainsi une perception nouvelle. Alors pourquoi aujourd’hui je me mets à écrire alors que l’envie me taraude sérieusement depuis quelque temps. Que s’est-il passé en ce lundi d’octobre ? C’est vrai de belles conditions présentes qui me conviennent : du soleil, de la bonne humeur et un bon we ; que demander de plus mais je me rends compte que l’inspiration ou plutôt le fait d’écrire m’est venu comme ça, ce n’est pas parce que j’en avais envie histoire de m’occuper c’est juste que les mots s’alignent sans encombre. Je me suis ainsi toujours demandé comment font les écrivains pour aligner 200, 500 voire 1000 pages alors que j’ai toujours eu du mal à faire plus de trois pages de dissertation : peut-être prenait-il du plaisir à écrire alors que mes dissertations ou lointaines rédactions me poussaient dans mes retranchements car je devais délivrer un devoir d’écriture imposé par une haute autorité souvent haïe par mon côté rebelle et paresseux je dois le reconnaître. Sinon aujourd’hui toutes les misères se sont encore abattues sur le monde avec la prise de conscience d’un mal endémique planétaire : la faim. C’est dur de se dire qu’à des centaines de kilomètres des gens crèvent, qu’ils n’ont pas notre chance mais c’est la vie il faut s’y adapter pour eux et pour nous car on se doit de les aider dans la mesure du possible rien que par la pensée et sans rien attendre en retour. Rien ne sert de se lamenter, il faut agir par la pensée dans un premier temps mais bien sûr les adctes doivent suivre les paroles. Mais il serait trop facile de commenter l’actualité laissons cela aux professionnels et concentrons nous sur ces moments futiles quotidiens pendant lesquels on ne comprend pas ce qui arrive mais où tout finalement s’arrange. Méditons car je ne sais plus quoi écrire, foutue inspiration! A bientôt.
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